Joël Pourbaix

Né à Montréal d’un père Belge et d’une mère Luxembourgeoise, Joël Pourbaix a travaillé dans le milieu de la librairie ainsi que dans le domaine du développement commercial et culturel montréalais. Il se consacre désormais à l’écriture.

AU NOROÎT, il a publié La rivière. Initiations outaouaises (collection Lieu dit, 2019), Quelle mémoire plisse leur visage suivi de Souffles (2017), Le mal du pays est un art oublié (2014, Prix du Gouverneur général et finaliste au prix Alain-Grandbois), Dictature de la solitude (2008), Les morts de l’infini (2005, finaliste au prix Terrasses Saint-Sulpice de la revue Estuaire), Labyrinthe 5 (2003), Disparaître n’est pas tout (2001), Les enfants de Mélusine (1999), On ne naît jamais chez soi (1996), La survie des éblouissements (1994), Voyage d’un ermite et autres révoltes (coédition avec les éditions Ubacs, 1992), Le simple geste d’exister (1989), Sous les débris du réel (1985).

La traduction anglaise du Mal du pays est un art oublié, réalisée par Donald Winkler, a paru en 2017 chez Bookland Press.

Nuit noire (2022) est sa dernière œuvre publiée au Noroît.

Photo : Marie-Claude Le Hoariec

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