Disparaître n’est pas tout

Dans Disparaître n’est pas tout, Joël Pourbaix continue d’explorer ce que l’on pourrait nommer un cycle de légendes. Nous suivons, fascinés, une histoire où la quête de l’autre est omniprésente. Ponctuée par les apparitions d’un Golem aux paroles sages, cette aventure initiatique exprime l’étrangeté essentielle de toute rencontre, un révélateur de l’instant amoureux.

Le bleu du ciel et le bleu de tes yeux sont

irréconciliables. Il y a des blessures plus grandes

que nous-mêmes, elles nous détournent de l’infini et

nous ramènent, ici, une étreinte dans les ruelles de

la vie. La nuit est un pays inachevé. Est-il facile à

dire et impossible à faire ? Ce qui est impossible à

dire est peut-être la seule chose qui nous sera facile

à faire.