Claude Paradis
Claude Paradis est né à Lévis en 1960. Il est poète et critique et il enseigne la littérature au Cégep de Sainte-Foy où il a fondé le Centre d’études poétiques (CEP). Son œuvre s’est mérité le prix Octave-Crémazie, le prix Jacques-Poirier et, tout récemment, le prix Jean-Noël Pontbriand.
AU NOROÎT, il a publié Où commence le monde (2018), Ouvrir une porte. Sur dix grandes œuvres de la poésie québécoise du xxe siècle (collection «Chemins de traverse», 2015), Carnet d’un improbable été (2013), Lettres d’écorce ([1997] 2012), Le livre sur la table (2009), Un pont au-dessus du vide (2005), Les mêmes pas (2001) et L’amourable (1989).
Il a également participé au collectif Le Désaveuglé. Parcours de l’œuvre de Robert Melançon (collection « Chemins de traverse », 2007).
AU NOROÎT
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Ouvrir une porte. Sur dix grandes oeuvres de la poésie québécoise du XXe siècle
Claude paradisAu Québec, dans l’enseignement de la littérature, on accorde une grande importance à la poésie française du XIXe siècle, mais on oublie peut-être l’essor extraordinaire... -
Carnet d’un improbable été
Claude paradisAu fil des vacances, le poète a tout son temps. C’est un flâneur compétent qui entraîne le lecteur dans ses rêveries estivales, faites de méditations,... -
Lettres d’écorce (réédition)
Claude paradis«La question qui s’est posée lors de sa parution, en 1997, c’est “Qu’est-ce qu’un ami?” Pour l’auteur, c’est une personne qui, par sa présence, insuffle... -
Le livre sur la table
Véritable hommage aux poètes fréquentés, lus, admirés, autant qu’à la lecture en tant qu’elle fonde le début de l’écriture, Le livre sur la table est celui d’un... -
Un pont au-dessus du vide
Claude paradisUn pont au-dessus du vide rend compte du vertige auquel nous sommes confrontés, poètes ou lecteurs, tout simplement parce que la vie ouvre sous nos pas... -
Les mêmes pas
Claude paradisLes mêmes pas marque un nouveau passage dans la poésie de Claude Paradis. Sa voix demeure lyrique, mais ici le recueil est marqué par la perte... -
L’amourable
Claude paradisJe te suis te poursuis vague courant le long du fleuve amer verte souffrance d’eau à portée de visages nous nous retenons les yeux...