Visages
Michel Beaulieu
lointaine voix du corps ouvertoù fluide la main glisseen enveloppant les peauxd’une laine où roulent les chats qui filenten démêlant l’écheveau tour à touret nœud par nœudla tête rit contre une épaule qu’agaceun soupçon de névralgiequand le vent te touche à son grédénudé