Mes souliers me font mourir
Robyn Sarah
Dans Mes souliers me font mourir, la poète Robyn Sarah se penche sur le temps qui passe, la fugacité des rêves et le plaisir doux-amer de penser au « trésor » qu’est le passé. Musical, méditatif, chaleureux et étonnamment drôle – ce que la traduction de Rémi Labrecque rend à merveille – il en va d’un recueil à l’écriture réparatrice et émouvante de l’une des poètes canadiennes les plus réputées.
Robyn Sarah a remporté le Prix du Gouverneur général en 2015 avec ce recueil (de l’anglais My shoes are killing me).
Je voulais écrire les sous-titresd’un film sur le bruissement du vent dans les arbres,car j’ai toujours aimé le bruitdu vent dans les feuilles, le bruit des arbresqui se parlent dans leur propre langue,et j’ai toujours suqu’ils disaient la vérité.
Traduction
Rémi Labrecque
Oeuvre en couverture de D. R. Cowles
DANS LA PRESSE
La force de ce recueil réside dans les observations du réel avancées par l'autrice, et derrière lesquelles trouve la véritable expérience poétique de l'œuvre.- Mathieu Simoneau dans Sabord (mars 2020)
C'est un livre sur le temps qui n'arrête jamais sa marche alors que nous devons de loin en loin reposer nos jambes. - François Rioux dans Estuaire (septembre 2019)