Les pavages du désert
Jocelyne Felx
Ici tant d’arbres meurent pourles lentes mains de noslivres, expirent dansles bras de gigantesques machinespour ces écrituresqui embrassent l’universdu plus petit espace au plus grand.Finiront-ils pargagner l’immortalitédes anneauxde l’eau ?C’est du silenceà odeur de bois.
Artiste
Louise Paillé
Coédition
La Table rase