Le rire de l’eau
Dans Le rire de l’eau, l’auteure poursuit une quête d’identité et interroge la violence des rejets et l’horreur. Rythmé par des poèmes brefs, ce recueil met en scène le silence, comme une autre image des mots, entrouvrant ainsi le passage vers l’essentiel de l’expérience. La vie de tous les jours côtoie des réflexions plus intimistes, l’imaginaire se mêle à la réalité. On assiste alors avec lenteur à l’émergence d’une lumière, d’un rythme qui veut apaiser la souffrance, trouver ce passage où la liberté saisit «le secret de l’inspiration […] dans la difficulté de vivre».
Partout sur terreje retrouvel’inspiration et l’expirationdes pierresDans chaque brindille,un cœur bat, sensuel,sous les dures apparences.
Œuvre en couverture04
«Inspirée par la liberté de l’oiseau, le réconfort de l’eau ou le dépouillement de ce qui l’entoure, la poétesse se laisse guider par les sons et les silences. De cette écriture sereine se dégage une impression de recueillement : ne plus être subordonnée au matérialisme, au temps ou au regard de l’autre, voilà ce qu’elle convoite. Les vers de Ltaif, riches de sens, révèlent une auteure exaltant le bonheur malgré les maux de notre époque.»
Cynthia Lévesque, Canadian Literature, 2006
Carlos Dalla Stella, Passero do Amo
DANS LA PRESSE
«Inspirée par la liberté de l'oiseau, le réconfort de l'eau ou le dépouillement de ce qui l'entoure, la poétesse se laisse guider par les sons et les silences. De cette écriture sereine se dégage une impression de recueillement : ne plus être subordonnée au matérialisme, au temps ou au regard de l'autre, voilà ce qu'elle convoite. Les vers de Ltaif, riches de sens, révèlent une auteure exaltant le bonheur malgré les maux de notre époque.»Cynthia Lévesque, Canadian Literature, 2006