Le cycle des migrations
Madeleine Ouellette-Michalska
Aventure initiatique où l’amour tient lieu de quête et de dépouillement. La traversée du temps s’effectue dans l’exil et l’extase, mais aucune assomption n’est définitive. Le dernier mot n’est jamais donné. Tout reste à refaire. Tout reste à réinscrire dans l’incertaine migration du poème et du désir.
tout ce qui fuit sous la vaguele feu des chairsles traces laisséesdans la cité des vivants et des mortsretourne à la déferlantebouche de l’univers
Œuvre en couverture
Hans Ern
DANS LA PRESSE
«Pour la synthèse et l'intelligence du propos, pour l'élégance de l'écriture, pour sa lecture du féminin, pour ses voyages littéraires, pour le plaisir de l'amour, pour la mémoire des lieux, pour l'exploration de l'histoire, on aime lire Madeleine Ouellette-Michalska.»Claudine Potvin, Lettres québécoises, 2010