L’amoureuse intérieure, suivi de La montagne sacrée
Claudine Bertrand
Les plis de son ventre, recroquevillé comme prière immédiate, crient «encore un peu». Derrière une voix suppliante, j’entends celle du père, du frère, de l’amant, puis de l’enfant. Tant de choses à taire. Le désir n’est-il qu’une passion orpheline dans ce pays de sable et d’écume?
Œuvre en couverture
Roland Giguère
Coédition
Le Dé bleu
DANS LA PRESSE
« Il est inconcevable d'aimer sans le dire, sans l'écrire et sans chercher à recréer les instants de félicité, car les deux passions trouvent leurs racines dans les mêmes centres nerveux de l'âme. “Son cinéma intérieur rejoue le même film sans fin : les rencontres dans des lieux de velléité avec cet homme mystère. Quand elle se voudrait à l'abri, les vertiges de l'écriture, instant après instant, l'obsèdent parmi phrases et silences.” »(Estuaire, 1998)
PRIX ET DISTINCTIONS
Prix de la Société des écrivains canadiensPrix des Écrivains francophones d'Amérique
Prix de la Renaissance française