Hamra, comme par hasard
Nadine Ltaif
La poète voyage, retourne dans le quartier de son enfance, Beyrouth-Hamra, en compagnie d’amies venues l’assister dans ses réminiscences du passé. De l’alphabet phénicien à la traversée des continents, le poème puise son inspiration dans des sources méditerranéennes ou dans les bleus de l’hiver québécois, ou dans le cris des martyrs syriens, en vers ou en prose, comme la traduction d’une musique ou d’un silence.
Les choix ne sont pas fortuitsEt le hasard n’existe pasNous avons choisid’habiter l’hôtel Elissa.Le moins rénové deBeyrouth-HamraBeyrouth La Rouge
Œuvre en couverture
Camilla Adami