Finisterres
François-Michel Durazzo
L’élan dans mon poèmeest cet enfant pensifqui collait son oreillecontre l’écorce de l’arbrepour entendre la merfaute de coquillage.
Mais cet arbre qu’écorcela langue qui le sculptese fait chairdans mon regard.
Et tu lèves les yeux.
Coédition
Les Cahiers bleus / Librairie bleue