Émile Nelligan

Émile Nelligan (1879-1941) peut être vu comme « un éclair, une éclaircie dans le ciel pâle et épais de la fin du XIXe siècle. Il a assimilé l’essentiel de l’art de son temps : Baudelaire et le Parnasse, Verlaine et les Décadents, Rollinat et Rodenbach. […] Le nom et le visage et le destin d’Émile Nelligan sont les plus connus de la littérature québécoise.  On a fait de cet adolescent un mythe […] il n’a laissé aucune lettre, aucun journal : ses poésies sont, dans tous les sens du terme, une œuvre complète. » (Laurent Mailhot, La poésie québécoise – Anthologie, Typo)

AU NOROÎT, Émile Nelligan – Poèmes choisis (collection «Ovale», 1997), choix et présentation de Jocelyne Felx.

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